Ce choix de titre pour souligner la permanence du motif de la fleur dans les arts, c’est-à-dire sa constante reprise , le temps pour le spectateur d’une interrogation intime.
Même si, aujourd’hui le motif semble délaissé parce que désuet, fatigué métaphoriquement , sa représentation reléguée au rand d’activité de détente ou de récréation.